Le projet éducatif territorial formalise un parcours éducatif proposé à chaque enfant avant, pendant et après l’école. On y retrouve d’ailleurs l’accueil de loisirs du mercredi matin. Ce document organise dans le respect des compétences de chacun, la complémentarité des temps éducatifs. À l’initiative de la collectivité, ce projet relève d’une démarche partenariale avec l’Éducation nationale et les acteurs éducatifs locaux. Cette organisation générale répond aux spécificités du territoire, aux besoins des enfants, aux attentes des familles et des équipes éducatives.

Roger Calon adjoint à la jeunesse : « Ce parcours éducatif est cohérent et qualitatif. Il est fait pour que les enfants bénéficient du meilleur avant, pendant et après le temps scolaire. »

L’organisation des temps scolaires et périscolaires reste bien à la semaine de 4 jours. Pourquoi fallait-il de nouveau la voter ? Saména Leroy, adjointe à l’enseignement présente le projet : « Cette organisation est valable 3 ans. Elle  arrive à son terme en août prochain. Nous l’avons de nouveau étudiée avec les équipes enseignantes et les représentants des parents d’élèves. À l’unanimité nous proposons donc au conseil municipal et au directeur académique des services de l’Éducation Nationale la reconduction de la semaine de 4 jours. »

La subvention pour le Centre Communal d’Action Sociale [CCAS] passe de 50 000 euros à 40 000 euros. La gestion actuelle révèle que cette somme répond parfaitement aux besoins actuels du CCAS. Celui-ci présente un compte 2020 excédentaire. Aussi et compte tenu des demandes reçues depuis le début de l’année, la somme prévue devrait être suffisante pour 2021. “Si la situation sociale devait évoluer défavorablement, il sera toujours possible de revoir cette subvention.” précise Hélène Tiertant, adjointe en charge des affaires sociales.

• Le compte administratif de la Zone d’Aménagement Concerté. Celui-ci n’évolue pas car la ville ne doit intervenir que face à des imprévus et il n’y en a pas eu en 2020.

• La Ville adhère à la convention nationale « Petites villes de demain ». Cette adhésion permet de faire bénéficier à Wimille de tous les atouts du Plan de Relance.  [Lire ici]

• École privée Ste Jeanne d’Arc : la ville participera aux frais de scolarisation des élèves de maternelle. Ils concernent uniquement les enfants Wimillois de plus de 3 ans. Cette prise en charge se fera selon les conditions actuelles des écoles maternelles publiques. Le principe de participation ne se discute pas. C’est une loi votée à l’Assemblée Nationale.

La ville signe avec l’Agence nationale de la cohésion sociale un programme d’investigations. Celui-ci permettra de préciser les attentes en matière de création d’un FabLab [lire ici]